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Spaghetti Sluts nous invite au Glazart

Dernière mise à jour : 27 avr.

C’est dans les loges du Glazart que nous retrouvons Spaghetti Sluts après un nouveau concert tonitruant.



Dans le viseur de Parisonne depuis de nombreuses semaines, Spaghetti Sluts au Glazart ! Une occasion à ne pas manquer. Le trio tout juste crée en 2022, ne nous aura pas attendu pour faire ses premiers remous dans la capitale. Drôle, engagé, le groupe propose un Post Punk chanté en français qui ne manque pas d’ironie et certainement pas d’énergie. Composé de David : guitare et chant, de Mogan : basse et back et de Gwendal ou Gwen : batterie, nous les retrouvons dans les loges du Glazart après le concert.

Parsionne : Comment est né le groupe, Spaghetti Sluts ?

Gwendal : De base, d’une soirée chez Mogan en 2022. A l’époque une chanson de Renaud qu’on trouvait drôle Corona Song tournait en boucle. On voulait en faire un cover.

Mogan : Et aussi de PZK, les filles adorent.

Gwendal : Ouais au début, on voulait faire ça en déconnant. C’était presque une vanne mais on a adoré jouer ensemble.

Mogan : C’est d’ailleurs des titres qu’on a repris lors de notre premier concert. Avec aussi les BB brune et One direction.

Parsionne : Et comment c’était ?

Gwendal : Nul a chier.

Parsionne : Est-ce que par rapport aux débuts l’objectif à changé ?

Mogan : Non pas vraiment, on se prend pas plus au sérieux.

David : En vrai, ce qui compte c’est de nous faire plaisir et de pouvoir continuer à faire de la musique.

Parsionne : Les dates s’enchaînent sur Paris, vous commencez à vous faire un nom ?

Mogan : C’est vrai qu’on enchaîne les dates. On a un public fidèle qui écoute vraiment le morceau et ça, ça fait plaisir.

Parsionne : Vous devenez un groupe Parisien ?

Mogan : Non Paris, c’est un peu malgré nous. C’est justement ce qui est marrant, c’est vrai qu’on a vraiment l’impression d être assez implanté ici. Mais maintenant on aimerait bien pouvoir jouer ailleurs en France aussi. On a déjà joué à Rennes, Nantes et Caen. Mais c’est pas évident, par ce que personne ne nous connaît en dehors de Paris. C’est moi en ce moment qui m’occupe du booking et j ai du mal à avoir des dates ailleurs

Parsionne : Aujourd’hui vous assurez pour l’essentiel des 1er parties. On a pourtant l’impression qu’un public vient spécialement pour vous voir. Est ce que je me trompe ?

Mogan : Non, c’est justement ce qu’on on se disait en venant. On a remarqué dernièrement, qu’on jouait en premier et que pas mal de gens partaient après. Peut être qu’on est pas un style fait pour finir un concert ? Après nous on essaie seulement de trouver les dates. Mais c’est vrai que c’est un peu bizarre.

Parsionne : En parlant de style, d’ou vient votre inspiration ? Je pense notamment à un titre comme Parapet.

Mogan : Je sais pas si tu suis le tour de France. Moi j’aime énormément. Il y a quatre ou cinq ans de ça, il y un super coureur qui s’appelle Philippe Gilbert qui se casse la gueule sur un parapet. Et le commentateur a pris un voix assez drôle. « Attention Philippe le Parapet ». David a écrit la chanson. On voulait des trucs qui nous fasse marrer.

Gwendal : C’est comme pour le pasteur Douglas, C’est partie de rien. La chanson c’est pourquoi tu m’as volé ma PSP.

David : Ouai la chanson c’est un Tweet !

Parsionne : Qu’est ce qu’on attend de Spaghetti Sluts pour la suite ?

Mogan : On enregistre un deuxième album cet été. Sortie pour septembre. On a de nouvelles chansons. On est content, on trouve qu’elles nous collent toujours à la peau.








Jay-f****


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